Bien décidé à se construire un nouveau stade, en conservant les bases de Stamford Bridge, Chelsea a revu à la hausse le coût de sa future enceinte. D'ailleurs le prochain stade des Blues pourrait devenir la troisième antre la plus chère du monde.
Dans un monde du football business où la course aux deniers est devenue l'enjeu majeur des clubs, la rénovation ou la construction de nouveaux stades sont l'un des moyens étudiés par les formations pour accroître leurs revenus. En France, le Matmut Atlantique de Bordeaux ou du Groupama Stadium de Lyon sont deux des exemples les plus parlants. En Angleterre, les gros bras de la Premier League ont eux aussi cédé à la tentation.
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Et si Tottenham, qui joue tous ses matches à domicile à Wembley, attend la livraison de son nouveau White Hart Lane au début de la saison 2018/2019, Chelsea se prépare également à donner un sérieux coup de lifting à Stamford Bridge. A l'instar des Spurs, les Blues comptent s'appuyer sur les infrastructures existantes pour agrandir leur stade. Une mission confiée au cabinet d'architectes Herzog & de Meuron. Pour le moment, rien n'a encore été construit, mais selon le Times, le coût de l'affaire est en train d'exposer.
En clair, le club londonien avait tablé sur une rénovation à hauteur de 500 M£, soit environ 561 M€. Or le journal anglais révèle que la facture devrait finalement s'élever à 1 milliard de livres sterling, soit 1,122 milliard d'euros ! Un coût total qui serait donc multiplié par deux. Une sacrée différence comptable qui ferait d'ailleurs entrer le nouveau Stamford Bridge dans le livre des records. En effet, la future enceinte des Blues deviendrait le troisième stade le plus cher du monde, derrière deux mastodontes américains : le Mercedes-Benz Stadium (Atlanta Falcons) et le MetLife Stadium (New York Giants) dont le coût est estimé à 1,3 milliard d'euros.
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