La tension monte dans le vestiaire du Real Madrid !
Les statuts de certains cadres vacillent au Real Madrid, ce qui fait monter la colère au sein du vestiaire. Xabi Alonso est confronté à de nombreux problèmes…

La large victoire en Ligue des Champions à Almaty (5-0), non loin de la frontière chinoise, n’a pas permis d’apaiser les tensions au Real Madrid. L’air de l’Orient n’a pas fait du bien à tout le monde. Ici et là, ce qui n’était que des contrariétés de début de saison deviennent doucement de vrais problèmes au sein du vestiaire. Il y a les cas Valverde, Vinicius, Rodrygo, Brahim Diaz, Endrick. La liste s’allonge et le coach commence déjà à fatiguer.
Le cas de l’Uruguayen est le plus visible. La Cadena Ser informait durant la semaine d’un problème de poste pour lui. Il ne voudrait plus dépanner en latéral droit, alors que Trent Alexandre-Arnold et Dani Carvajal sont actuellement blessés. Face au tollé suscité, l’habituel milieu de terrain s’est senti obligé de démentir par le biais d’un communiqué publié sur les réseaux sociaux.
Valverde, Vinicius, Rodrygo, Brahim Diaz, Bellingham, les problèmes s’accumulent
Rodrygo matérialise aussi son malaise dans son utilisation sporadique. Il n’a débuté que deux rencontres sur neuf depuis la reprise, sans marquer. Il a au moins eu le mérite de ne pas passer par la case média pour manifester son mécontentement. Mardi au Kazakhstan, Vinicius Junior est sorti furieux du terrain à 20 minutes du terme, mécontent d’être remplacé. Xabi Alonso a dû éteindre le début d’incendie en conférence de presse. «Si certains sont déçus de ne pas jouer, c’est normal et on doit vivre avec», expliquait-il avant de recevoir Villarreal ce soir (21h).
L’ancien milieu de terrain doit faire face pour la première fois de sa jeune carrière d’entraîneur à un vestiaire où la gestion des egos pèsent tout autant que sa mise en place tactique. Or, les problèmes s’accumulent puisque L’Equipe affirme ce matin que Rodrygo et Brahim Diaz ne comprennent pas comment Franco Mastantuono, 18 ans, leur est déjà passé devant dans la hiérarchie. Même crainte pour Jude Bellingham, qui voit la promotion d’Arda Güler pendant sa convalescence comme un danger.
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