Ligue 1

Timothy Weah dévoile les dessous de sa venue à l’OM

Tout juste arrivé à Marseille où il débarque sous la forme d’un prêt payant depuis la Juventus, Timothy Weah a livré ses premières impressions et dévoilé ses ambitions.

Par Maxime Barbaud
2 min.
Timothy Weah lors de son arrivée à Marseille @Maxppp

Depuis hier soir, Timothy Weah est devenu la 6e recrue de l’OM cet été. L’Américain fait l’objet d’un prêt payant depuis la Juventus (1 M€), assorti à une obligation d’achat de 14 M€ (plus 3 M€ de bonus). Les négociations ont été longues entre deux directions qui ont eu du mal à faire un pas de côté. Le joueur est même parti en stage avec la Vieille Dame alors qu’il était sur le départ. Le dossier a même agacé Damien Comolli, lequel a regretté l’attitude du clan du joueur.

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Une histoire déjà ancienne pour la nouvelle recrue. «Je n’ai rien de mal à dire (sur la Juventus). Dans ma tête, j’avais pleine confiance. C’est important de rester professionnel dans ce genre de moment. Et voilà, je suis ici», confesse-t-il lors de sa conférence de presse de présentation. Il n’oublie pas que s’il est ici, à Marseille, c’est aussi grâce à son parcours en Serie A, où il a évolué deux saisons. «Je suis très fier d’être là», relate l’intéressé, visiblement déterminé à mettre sa pierre à l’édifice.

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«Je n’avais jamais reçu un tel accueil»

«Quand tu vois l’effectif, le staff, la direction, tout est clair, Marseille est un grand club. C’est parfait. On connaît l’histoire du club, les supporters, c’est un rêve d’être là.» L’accueil chaleureux reçu à sa sortie de l’aéroport l’a touché et l’oblige envers sa nouvelle équipe. «Je n’avais jamais reçu un tel accueil. J’ai envie de tout donner sur le terrain. J’ai eu beaucoup de moments difficiles dans ma carrière. Là entendre les supporters crier mon nom, c’est très spécial… Je veux entendre la même chose au Vélodrome.»

Ca aurait pu être dès samedi à l’occasion de la réception d’Aston Villa, dernier match amical de la pré-saison mais il est insuffisamment préparé. Depuis la tribune, il pourra en revanche mesurer la concurrence qui l’attend, lui qui arrive comme piston droit mais qui peut faire jouer sa polyvalence. «Je n’ai pas de position préférée. On en parlera avec le coach, il me voit comme un piston. Je peux jouer à gauche, à droite. C’est mon travail. Moi ce que je veux faire, c’est gagner.» Ça tombe bien, l’OM et ses supporters n’attendent que ça.

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